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cauchemar

28 octobre 2006

fermeture

fermeture du blog car kand on decouvre le bonheur on clôs les porte du malheur on oublis pk on a souffert on ne doit pas l'oublier car ça fait partie de notre vie mais on va mieu et on vi..

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21 octobre 2006

reve

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une pensée de peine,
une envie de reve,
je reve mais ne m'en rappelle pas,
j'ai aimais mais sa remonte a longtemps,
j'ai rever mais mon coeur l'a oublié,
j'aime rever
mais je reve aussi d'etre aimé...

hayate

21 octobre 2006

jeu

zaa

14 avril 2006

noemie

noemie etait une fille connue de tout le lycée bcp aimée et maintenan tres regretée

http://aurevoirnono.skyblog.com/

30 décembre 2005

ressentir

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partir, sourire, rire, ressentir, s'épanouir;

j'aimerais tellement,

mais le temps est long,

et mon coeur fragile,

tellement d'affections,

tellement d'émotions,

tellement de sentiments,

et si peu d'inspiration,

si peu de mots pour te le dire,

te dire ce que je ressent,

ce que je pense,

ce que je crois,

tellement de possibilités,

tellement de regrets...

hayate

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30 décembre 2005

Il m'empêche...

aaaaaab1

Il m'empêche d'être là,

Il m'écarte de toi,

Il m'empêche de te voir,

Il me fais perdre l'espoir,

Il m'empêche chaque fois,

D'être avec toi,

Il m'empêche de vivre,

Et me fais mourir,

Il m'empêche de t'aimer,

Seul le droit de te regarder,

Il m'empêche d'espérer,

Juste le droit d'admirer,

Seul le droit de mourir

Et de souffrir, sans te voir à mes côtés

Hayate

30 décembre 2005

le depart

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Ce nouveau départ reste en ce soir le seul échappatoire,

regarde cet immeuble,

grand, beau et abandonné,

combien de gens ont déjà sauté,

combien de gens ont déjà trouvé,

ce bonheur cette gaieté,

de pouvoir se faire oublier,

de pouvoir régner sur sa vie,

de pouvoir être roi de ses envies,

et maître de ses désirs,

je vais y entrer,

juste pour voir ce que cela fait,

d'être là où tant de personnes ont détesté,

là où tant de personnes ont pleuré,

là où tant de gens ont crié,

hurler à l'aide,

pour cause d'avoir tout perdu,

pour malheur d'avoir tout reçu,

pour peine d'avoir tout vécu,

je suis sur le toit,

c'est extraordinaire la vue que l'on a,

c'est magnifique ce que je vois,

un monde sans espoir,

un monde sans soupir,

je vais partir,

avec de la peine,

mais le sourire,

grâce à ces étoiles je n'ai pas fait,

ce que tant d'autres ont fait,

je n'ai pas fait cette faute,

je n'ai pas fait le pas,

mais je reviendrais crois moi,

tu ne resteras pas sans moi...

hayate

30 décembre 2005

l'age reste une raison, une âme sans conscient un

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l'age reste une raison,

une âme sans conscient

un désir d'intrusion

une envie de découvrir

la curiosité infantile,

et la réalité des mes lacunes

je ne comprendrais pas ce désir

de créer une image

d'inventer un personnage

pour faire regretter a cette image

le plus simple des messages

un message d'amour

ou un message de haine

le résultat reste le même

une cruelle réception

une infime compréhension

une immense douleur

qui parfois finissent en pleurs

pourquoi la croire,

elle reste réaliste

dans les limites du possible

et l'âme veut toujours le plus stupide

comment comprendre cette réalité incompréhensible?

qui me surprend et m'enterre dans le plus grand des cimetière

qui reste mon coeur...

hayate

29 décembre 2005

mon bonheur

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tu fais tout passer,

tu me fais rêver,

tu me fais t'aimer,

tu me souris,

tu ris,

mais tu me détruis,

tu me sacrifis,

tu me hais,

tu as tout fais partir,

mon bonheur en premier....

hayate

29 décembre 2005

le bonheur...facile...

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Pourquoi ne pas essayer,

Pourquoi ne pas oublier,

Cette sacrée année,

Ces superbes pensées,

Cette fichue année,

Où tant de rêves ont sombrés,

Où l'espoir s'est envolé,

Essayons, donne moi la main,

Sautons  toutes ces raisons,

Oublions les jurons,

Pensons à nous,

Rêvant de vous,

Espérant pour vous,

Nous nous aurons tout,

En gage pour toujours,

En plus de l'amour,

Ca a l'air si facile,

Il suffit juste de fermer les yeux,

Et de penser à nous deux,

Et le bonheur viendra,

Aprés tout ça ne nous coutera rien,

On y perdra rien,

Mais on gagnera tout,

Tout sera pour nous,

Et pour demain,

Pense à l'etranger,

Pense à cette diversité,

Pense à tout sauf au passé,

Rêve de tout sauf à tes idées,

N'oublie pas ton Hayate à l'entrée,

N'oublie pas l'amour que je t'ai donné,

N'oublie pas que c'est du passé...

hayate

29 décembre 2005

émotions

blank1blank2arizona_steeple_by_kariboetje

ton avenir n'est pas défini et tes pensées te sont réservées,

mon coeur t'a aimé,

et ton retour m'a comblé,

le sentiment est revenu,

mais pas réciproquement,

je reste dans mon coin,

même par tant de soin,

je ne peux t'oublier,

juste t'ignorer,

pour ne pas y penser,

je tiens beaucoup à toi et c'est pas facile,

de vivre parmi des rêves,

je sais avoir la tête dans les étoiles,

mais mon coeur est dans tes bras,

malheureusement tu n'es plus là,

et l'amour s'en va,

un jour, un jour il reviendra

un jour toujours sera

un jour nous serons

même si ce sera à la mort

nous resterons,

et ce jour nous irons,

dans notre monde

et nous resterons à l'unisson

blank

hayate

29 décembre 2005

vois..

the_love_omen_by_gilad

regarde devant toi,
le passé se fait vieux,
mais le futur lointain,
regarde dans ton présent
et regarde devant toi,
vois tes pas,
vois tes échecs et tes victoires,
vois tes regrets et tes méfaits,
vois tes plus grande envies s'accomplir par le jugement du temps,
vois ton avenir s'investir dans tes actions présentes,
vois ma main tendu pour te tenir,
écoute ma voix s'amplifier pour te soutenir,
sens mon désir le plus profond te voir réussir,
écoute moi te chuchoter que je t'aime,
sens mon coeur te le faire sentir,
regarde dans mes yeux pour voir la sincérité
et la richesse de mes dires,
a toi je te donne tout cet amour,
a toi je te donnerais toutes mes forces,
et mon amour.

hayate

29 décembre 2005

liberté

world_harmony_by_gilad

Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom

Sur les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffées d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Paul Eluard

29 décembre 2005

a toi ma grande

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a toi ma grande je cacherais mon nom,
a toi ma grande je preterais attention,
a toi ma grande je t'admirerais longtemps pour ta passion,
pour ta force
a toi ma grande tous mes éspoirs,
a toi ma grande les conflits on cessés,
maintenant tu vis ta vie comme la femme que tu es et avec toutes les vertue qui te sont dues...
a toi ma grande

hayate

29 décembre 2005

tu seras un homme mon fils

zzzz

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou, perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et, te sentant haï sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leur bouche folle,
Sans mentir toi-même d'un seul mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,

Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,

                            Tu seras un Homme, mon fils.

Rudyard Kipling

28 décembre 2005

quand...

quand l'amour s'en va,
quand l'espoir revient,
quand le rêve se barre,
et l'esprit se retient,
quand l'étrange est roi,
et la peine du désarrois,
quand tout vas bien,
et que le tout n'est rien,
quand l'envie se perd,
mais le désir reste,
quand tant de choses sont dites,
et tant de choses pensées,
quand le rêve n'est plus qu'illusoire,
et que la douleur n'est que superficielle,
quand cette larme vient,
et les mots partent,
dans l'absence de désirs,
seul l'oubli prime,
le soleil est toujours là,
mais la nuit très vite s'en va,
et les rêves aussitôt s'estompent,
mais dans un murmure insolite,
dans un silence mélancolique,
un air de musique nous retient,
aussi beau soit-il,
aussi triste reste-il,
mais il est l'une des rares choses qui reste...

Hayate

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28 décembre 2005

la fin d'un si beau conte de fée

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une pensée dans la peine,

un souvenir dans la haine,

juste une envie de partir.

un appel oublié,

une action déjà passée,

juste une envie de partir.

un fait terminé,

dans une peine innée,

juste un désir de partir.

à chaque jour sa nouvelle face,

à chaque heure sa nouvelle trace,

mais que connais tu?

que vois-tu?

moi je me perd,

je reste et j'erre,

je te cherche mais je me perd,

que sais tu sur moi,

que penses-tu de moi,

connais-tu la vérité,

non ...

connais-tu ma destinée,

non plus,

crois-tu en la joie,

crois tu en la foie,

j'ai beau espérer pour une fois,

j'espère toutefois,

connaître,

te connaître,

te voir,

mais a cause de quoi,

quel est cette chose,

qui malgré moi,

me projetait loin de toi,

me rejette de ces pas,

m'éloigne de cette voie,

que suis-je,

qui est tu,

qui sommes nous,

tout cela m'est égal,

mes pensées,

te sont toujours dirigées,

à l'insu de mon plein gré,

chaque journées,

chaque soirée,

une mélancolie reste,

dans mon Corp inerte,

sans toi rien,

rien de mieux,

rien de pire,

mais je connais la suite,

cette poursuite,

dans ce chemin,

que j'essaye d'atteindre en vain,

la route vers ton coeur,

la route vers le bonheur;

je me suis rendu,

compte que je ne voulais pas le bonheur,

je ne veux pas la chance,

ni l'amour,

je veux l'espoir,

l'espoir que tu aille bien,

l'envie de ton sourire,

reste en place dans un soupir,

je n'ai pas envie,

pas envie de vivre,

sans ton sourire aux lèvres.

je veux juste ton amitié,

non pas ton amour,

je me suis dévoilé,

tant de jours,

tant de fois,

j'ai espéré,

ton bonheur,

voulu leur malheur,

mais tu restes là.

tu restes là,

maintenant c'est fini,

mon "amour"est parti,

le charme est rompu,

tant de fois déçu,

tant de fois blessé,

tant de rêves illusoires

tant de guerres,

puis de trêves,

je ne le supporte plus,

je ne te supporte plus,

arrêtons là,

stoppons tout cela,

pour moi c'est fini,

j'ai réussi à te chérir,

.....et à te haïr....

hayate

28 décembre 2005

dernier aurevoir

aaaaaa

28 décembre 2005

dernier baisé

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elle lui donna un baisé,

pour lui montrer la tendre réalité,

et lui apprendre le doux souvenir,

de cet amour envolé,

de plaisir oublié.

elle lui donna un baisé,

pour lui apprendre à rêver,

pour lui apprendre à espéré.

elle lui donna un baisé,

pour ne pas qu'il l'oublie,

pour ne pas qu'il oublis,

tous les plaisirs de la vie,

elle lui donna un dernier baisé,

et il partit rejoindre des être chers,

tant aimés dans le passé,

elle lui donna un dernier baisé,

et ce fut la fin ...

hayate

28 décembre 2005

Au seuil d'une nouvelle étape

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le deuil d'un passé,

au seuil d'un avenir,

qui me verra mourir,

pour pouvoir partir,

pour le meilleur et pour le pire,

je suis bon dans le meilleur et dans le pire,

mais dans le pire c'est moi le meilleur,

le risque de ne plus sourire,

peut-il être présent,

lorsque l'on souffre éperdument,

pour un évènement passé,

mais resté trop présent,

dans ce cas présent,

ou toute thérapie,

c'est vue inaboutie,

un mal trop présent,

une douleur trop constante,

aucune possibilité de retour,

mais plus de peine en compromis.

Hayate

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